Maroc Export vient d’organiser la huitième participation marocaine au salon "Pharmagora Plus" qui s’est tenu, les 11 et 12 mars 2017, à Paris autour du thème : "Accompagner – Développer – Rayonner".

Le pavillon marocain a eu droit, lors de cette 32^e édition de cet événement, à un emplacement de choix qui a permis aux opérateurs marocains d’accueillir dans des conditions optimales les visiteurs de ce salon dont le nombre dépasse les 10.000. Ces derniers cadrent parfaitement avec le cœur de cible des laboratoires marocains, puisque «Pharmagora Plus» connait une affluence considérable des pharmaciens en provenance d’Afrique subsaharienne francophone.

L’offre des firmes pharmaceutiques marocaines qui ont pris part à ce salon est essentiellement axée sur le médicament générique. Et d’après un communiqué de Maroc Export, les contacts réalisés par les exposants marocains lors de la précédente édition sont évalués à 922. Ces entreprises ont également pu décrocher diverses commandes d’essai et de cotation. L’Afrique trône en tête de liste en termes d'origine de provenance des contacts talonnée par l’Europe.  

Par ailleurs, le secteur pharmaceutique marocain a toutes les chances de percer sur le marché africain. En effet, l’industrie pharmaceutique marocaine constitue la deuxième activité chimique du Maroc. Elle enregistre une évolution exponentielle avec un grand potentiel de développement grâce à quelque 700 milliards de dirhams d’investissements annuels, réalisant 13,7 milliards de dirhams de chiffre d’affaires, 4,6 milliards de dirhams de valeur ajoutée et 9155 emplois à productivité élevée.

Une conférence a été organisée le dimanche à l’espace «Cliniques de l’innovation» sur le thème «La dimension africaine de l’industrie pharmaceutique marocaine : Réalités et perspectives».

Maroc Export continue sur sa lancée puisqu’il prévoit également la participation de laboratoires marocains dans d’autres événements prévus en 2017. 
Source : MAP/PMA

Les logiciels de gestion d’officine feront inéluctablement place aux logiciels métier de l’officine pour permettre aux pharmaciens de s’adapter, voire de tirer profit de la révolution digitale.

En attendant cette transition, rien ne va plus entre les pharmaciens d’officine et les éditeurs de logiciels. En effet, les premiers veulent avoir totalement la main sur les données recueillies  par les logiciels de gestion, tandis que les seconds démentent être impliqués dans la commercialisation de données informatiques des pharmacies.

Cette polémique va, sans nul doute, permettre la mise en place de règles garantissant la transparence dans la gestion des données par les logiciels métier de l’officine. 
Source : Le Quotidien du Pharmacien 

Des chercheurs de l’University of Western Ontario  ont rapporté dans la revue « Candian journal of neurological sciences »  qu’ils ont observé une activité cérébrale inexpliquée chez un homme plus de dix minutes après l’arrêt de son cœur.

On considère habituellement que l’activité du cerveau cesse, au plus tard, dans les deux minutes qui suivent l’arrêt des battements cardiaques.

Ces chercheurs ont eu cette surprise  alors qu’ils s’apprêtaient  à étudier précisément ce qui se passait au moment du décès de quatre patients ayant donné leur consentement.

Ils ont ainsi observé chez un patient de 67 ans des signaux électriques persistants à l’électroencéphalographe (EEG) pendant 10 minutes et 38 secondes, après que le cœur ait cessé de battre. Chez les trois autres patients, c’est plutôt l’inverse qui s’est produit avec  une chute d’activité cérébrale qui a précédé l’arrêt du cœur. D‘après ces chercheurs, cette activité n’est qu’un un faux signal, sans pouvoir en expliquer l’origine.
Source : Figaro Santé

Le laboratoire Ipsen vient d’annoncer que la MHRA (Medicines and Healthcare products Regulatory Agency) au Royaume-Uni, en coordination avec quatorze autres agences réglementaires européennes, a donné son feu vert pour une nouvelle indication du Décapeptyl®. Il peut de ce fait être indiqué en tant que traitement adjuvant en association avec le tamoxifène ou avec un inhibiteur de l’aromatase. Ce protocle est administré en cas cancer du sein hormonosensible à un stade précoce chez des femmes à haut risque de récidive non ménopausées à l’issue d’une chimiothérapie.

Cette autorisation fait suite à des études cliniques randomisées internationales conduites par l’International Breast Cancer Study Group (IBCSG) auprès de 5 700 patientes au total, dans 27 pays.
Source : Ipsen